Une jeune fille bien comme il faut

Ysabelle Lacamp

informations

● TITRE D'ORIGINE : /
● DATE DE PARUTION : 1999
● NOMBRE DE PAGES : 276
● ÉDITION DE TON LIVRE : Albin Michel (mais il y en a plusieurs)
● QUATRIÈME DE COUVERTURE : On peut être une jeune fille bien comme il faut, jolie, brillante, et être complexée et mal dans sa peau. On peut aussi s'entendre avec ses parents et réaliser un beau jour que leur amour vous étouffe, surtout lorsqu'on tombe amoureuse du meilleur ami de papa.

Comment leur avouer ? Difficile. Alors, Sarah ment et commence la spirale sans fin : les dilemmes, l'incommunicabilité, la culpabilité...Elle arrête de manger autant pour se punir que pour faire maigrir ce corps de femme qu'elle a du mal à accepter.

Cette histoire d'amour douce-amère où l'innocence se transforme en perversité, c'est aussi l'histoire d'une famille jusque là si unie, brusquement déchirée par l'anorexie, ce mal étrange...

(Le résumé est très long... J'ai mis ce qui me paraissait le plus intéressant)
● Y A-T-IL UNE SUITE ? Non

© aurélie

Ton avis

● RÉSUMÉ PERSONNEL :  /
● LE LIVRE EN UN MOT : De beaux mots forts
● UN CITATION : "Tu seras guérie le jour où tu sauras dire merde à quelqu'un sans culpabiliser"
"Savez-vous que le propre de l'anorexie est de travestir sa pensée ? Si vous tenez à guérir, je ne vous demanderai qu'une seule chose : mentez à qui vous voulez mais, pour commencer, cessez de vous mentir à vous-même"
" Et dire que j'ai voulu mourir de faim pour vivre..."
● UNE NOTE SUR 10 : 8/10
● TON AVIS : J'ai beaucoup aimé ce livre, d'une simplicité d'écriture qui ne le rend que plus puissant. Nous découvrons une jeune fille candide, renfermée sur elle-même et qui ne comprend pas le mal qu'elle se fait. Nous voyons les pics incessants de sa mère qui, peu à peu, la brise... Et son histoire d'amour, qui sera tout pour elle...  Mais ne pas en dire trop et vous laisser le suspense.
En tout cas, je vous recommande ce livre qu'il est dur de lâcher une fois que on a commencé. Il se lit très rapidement et avec plaisir. Dommage qu'il ne soit pas plus poignant, mais c'est un appel à l'espoir...
● À QUI LE CONSEILLES-TU ? Je ne sais pas