Je tiens à remercier les éditions Praelego de nous permettre ainsi de connaître des auteurs. Sans leur aide et leur maison d'édition, nous aurions peut-être eu beaucoup plus de mal à les découvrir !

Quand j’ai commencé la lecture des « histoires de la Brousse » j’ai cru, à tort, qu’il s’agissait de courtes histoires d’aventures… dans la brousse ! Finalement, il s’agit de trois romances. Je crois que ma méprise aurait pu être évitée s’il y avait eu une quatrième de couverture qui décrit un peu plus le contexte des histoires.

Une fois mon erreurs rectifiée, je me suis plongée dans ces trois courtes histoires très sympathiques. C'est l’histoire de trois femmes qui vivent une profonde romance, une histoire irréelle d’amour passionné. Les trois textes sont bâtis sur les mêmes bases, c’est-à-dire sur les fantasmes et les désirs. Comme elles sont très courtes, les évènements se bousculent et on passe rapidement, (un peu trop peut-être ?), de la découverte de notre personnage à une conclusion digne d’un conte de fée.

J’ai quand même eu de la difficulté à lire ces histoires puisque aucune structure de texte ne les étaies. En plein milieu d’un paragraphe, on peut passer au mois suivant, les dialogues et les pensées intimes des personnages sont écrits de la même façon et on a parfois l’impression que le texte, en langue étrangère à la base, aurait été passé au traducteur sans aucune relecture. Il y a quelques passages où le choix des mots était incohérent avec le contexte et où le mot était simplement le mauvais ! Par exemple « elle était assise sur un bout » au lieu de « elle était assise sur un banc » (ou sur le bout d’un banc?) . On a aussi un peu l’impression de suivre les méandres des pensées d’une jeune fille qui rêvasse en pensant à son prince charmant, les évènements se tiennent plus ou moins entre eux.

Somme toute, c’était une bonne lecture de vacances, de plage, très légère. On peut en lire une partie, et inventer les évènements manquant dans sa tête en se promenant sur la plage.

Merci Praelego et A&M pour ce partenariat.

Merci pour ta critique, je vais attendre d'avoir l'autre, c'est intriguant!

LES HISTOIRES DE LA BROUSSE de Catherine CARDON

Dynastie au Ghana:

Le style est très, très lourd ! Beaucoup de répétitions, des constructions de phrases très particulières qui alourdissent le texte, récit difficile à suivre, peu captivant : on voit guère où l'auteur veut en venir. L’histoire est sans grand intérêt, futile. On a l'impression que c'est un enfant de 6 ans qui la raconte : style très décousu, passant du coq à l'âne, etc...

Une lady à Manhattan:

Même style lourd, il faut même relire plusieurs fois certaines phrases pour en capter le sens. Les détails sont futiles et l'histoire est sans surprise, lassante et ennuyeuse !!!!
Même univers, un mélange de riches et de vies faciles où l'héroïne succombe aux charmes du plus beau gosse du coin...une fin en soit !!!!
Je n’ai pas lu le dernier récit : trop démotivée et pas l’envie de perdre du temps à lire quelque chose d’inintéressant.
Aucune valeur essentielle dans ce livre, aucune essence ne s'en dégage...

Eh bien, c'est étonnant de voir les 2 avis totalement divergeants...

Comme quoi

Elle aussi a trouvé le texte mal conçu ! Moi ça m'a tapée sur les nerfs et franchement l'histoire.... bof !
Mais il en faut pour tout les gouts!
bises a+

Je n'aime pas faire des critiques entièrement négatives, j'essaie toujours de trouver des points positifs à la lecture que j'ai faite. Est-ce que j'aurais terminé le livre si je n'avais pas pris l'engagement de faire une critique ? Non ! Comme je l'ai dit dans ma critique, on dirait les pensées d'une jeune fille, mais je comprends que certaines personnes, en vacances, l'esprit ailleurs ont pu trouver ces récits amusants, alors c'est ce que j'y ai trouvé de positif pour contrebalancer ma critique!

Moi, j'ai bien aimé les histoires. C'était rafraîchissant. De plus, j'aime bien le métissage qu'on retrouve dans Une Lady à Manhattan et l'atmosphère mystique et sensuelle à la fois dans Séjour à Bahia et enfin, l'Afrique dans Dynastie au Ghana. L'auteur est une noire et je la trouve accueillante en ce qui concerne les cultures noires...